Quand je pense à Rinat, cela m’évoque immédiatement des images de Mr Bean, de chocolat Cadburys et de séances de nettoyage du sol avec ABBA en musique de fond.
Je me souviens des boutiques à un dollar qui vendaient toutes sortes de babioles et de langue française parlée avec des verbes au présent uniquement.
Je me rappelle les surnoms et les épithètes dont elle avait l’habitude de me qualifier : Kalimero, Orinoco, mon bien-aimé.
Et une image d’omelette au ketchup, son plat favori, apparaît nettement.